Mathieu Vergier : « Je n’étais pas sensibilisé du tout sur les CE… »
« Alors moi, j’ai un parcours très atypique », prévient d’emblée Mathieu Vergier lorsqu’on lui demande de décrire le cheminement de sa carrière professionnelle. Du commerce, en passant par le rugby, le projet avorté d’un bar à vin, jusqu’à la protection sociale et patrimoniale des dirigeants d’entreprise, la carrière de Mathieu a en effet connu quelques détours.
« J’ai passé une licence pro de commerce avec une option gestion d’entreprise », explique Mathieu. « J’ai effectué une alternance dans l’entreprise de mon père. Je m’occupais de toute la partie commerciale et de la gestion des achats : contrôler les coûts pour les achats des matières premières, gérer les appels d’offres … ». Tout cela c’était avant que ses premiers amours le rattrapent. Grand passionné et pratiquant de rugby, Mathieu se voit proposé un poste au sein du Stade Rochelais, club récemment champion d’Europe. « Le rugby est revenu à moi. On m’a proposé un poste au stade Rochelais que j’ai accepté. J’y ai passé 4 saisons. Ma femme, qui est marseillaise, est venue à La Rochelle, puis on a fait le choix de venir s’installer à Marseille. »
Après des années dans le rugby, Mathieu saute alors dans l’inconnu et vient s’installer à Marseille, où il reste dans le monde du sport, en travaillant chez l’enseigne sportive Décathlon. « Je gérais un, puis deux et trois rayons, avant de basculer un peu dans le recrutement. Mais je me suis vite rendu compte que ce n’était pas pour moi », raconte-t-il. « Je n’aime pas rester enfermé, je ne pouvais plus continuer comme ça », reprend-il. Après cette expérience, Mathieu change, une fois de plus, radicalement de secteur d’activité. « Je devais monter un bar à vin, rue Sainte, avec un ami. On avait trouvé le local, tout était fait », raconte l’homme de 31 ans. Alors qu’il se voit déjà gérant de sa propre affaire, tout ne se passe pas comme prévu. « Puis finalement, le jour de la signature chez l’avocate, la propriétaire du local n’est jamais venue. On avait tout, la banque, le crédit … tout était calé ». Mathieu et son ami associé se mettent alors en quête d’un nouveau local dans la cité phocéenne, mais voilà qu’un nouvel obstacle se met en travers de leur chemin : la COVID. « Mon associé est ostéopathe, il a préféré garder l’apport en prévision de la Covid, ce qui est normal ! », explique-t-il.
Ce coup d’arrêt un peu brutal n’empêche pas cependant Mathieu de continuer à avancer. « Pendant ce laps de temps, j’ai eu une opportunité via une connaissance de faire une formation pour du courtage immobilier et être courtier en prêt immobilier », raconte le jeune père de famille. Mathieu intègre alors une structure spécialisée les crédits immobiliers. C’est par l’intermédiaire de cette profession que Mathieu va rencontrer Sébastien Roux, avec qui il va commencer à collaborer et se lancer dans la protection sociale du dirigeant d’entreprise. « C’était un complément parfait pour mon activité à l’époque. Et ça m’a aujourd’hui amené, après une nouvelle formation, à être expert en protection sociale et patrimoniale du dirigeant d’entreprise », reprend-il.
« Tu as accès à des avantages auxquels tu n’aurais jamais accès en étant seul… »
L’objectif de Mathieu, c’est de prévoir et couvrir les aléas de la vie d’un dirigeant d’entreprise. « Comment je couvre mes revenus si demain j’ai un arrêt de travail ? Dû à un accident, une maladie … ou que je deviens invalide ? Comment je prépare et j’optimise ma retraite ? Comment j’optimise ma rémunération … j’interviens sur tout ce qui est du patrimoine du dirigeant d’entreprise », détaille t-il. Aujourd’hui, cela fait un an tout pile que Mathieu travail dans la protection sociale.
C’est à travers cette profession que Mathieu fait la connaissance de Regis, et de Mon Petit CE, par l’intermédiaire de Stéphanie Halgand. « Je n’étais pas du tout sensibilisé sur les CE … mais maintenant que je connais Mon Petit CE et la solution je trouve ça génial parce qu’enfaite t’as accès à des avantages auxquels tu n’aurais jamais accès en étant seul, ou deux trois dans l’entreprise », explique-t-il. « Dans d’anciennes boîtes que j’ai connu, on avait un CE, mais il n’était pas spécialement animé, donc tu ne sais pas forcément les offres que tu as. Il y a des relais dans les entreprises qui animent le CE, d’autres ça ne leur plaît pas donc ils le font moins. Alors qu’avec une plateforme clé en main, tu as une visibilité sur tout ce dont tu peux profiter, et tu peux le faire instantanément ».